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Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne

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    Jerson Diasonama

    © In Da Box Production

    Né en 1997 en Haute-Savoie, Jerson Diasonama commence à danser en explorant les danses Hip-hop, plus particulièrement le popping et le hip hop freestyle. Artiste et performeur inspiré par son environnement, il explore et apprend de son mouvement au contact de multiples rencontres et voyages notamment en Allemagne, Angleterre, Pays-Bas, Russie, République Tchèque… Liant deux univers, le hip hop freestyle et la scène, Jerson enrichit son vocabulaire et développe ainsi une gestuelle introspective basée sur une expression corporelle instinctive, organique et explosive.

    Sa sensibilité pour le mouvement au-delà des étiquettes l’a mené à collaborer avec divers chorégraphes et pédagogue autodidactes de la scène hip hop et contemporaine telle que Imad Nefti, Sébastien Boucher, la compagnie Kh avec Karim Khouader et dernièrement, la compagnie Black Sheep fondée par Johanna Faye et Saïdo Lehlouh.

    Particulièrement sensible à l’image, Jerson est également photographe. Son esthétique tourne essentiellement autour de la photo documentaire. L’identité, le groupe, la jeunesse et le métissage de culture underground sont ses principales pistes de travail.

    En 2017, il crée Essenscorp, un laboratoire d’expérimentation explorant l’esthétisme du mouvement et utilisation du corps par le biais de la danse alliant performance, son, image et mouvement.

    Cintia Golitin

    © Timothée Lejolivet

    Cintia Golitin est danseuse et chorégraphe. Elle s’est imposée dans le paysage de la street dance grâce à l’excellence de sa technique du popping qui lui a permis d’intégrer des compagnies d’une nouvelle génération montante de chorégraphes, tels qu’Ousmane Sy (One Shot), Anne Nguyen (Promenade obligatoire), Bintou Dembele (Les Indes galantes) et Sandrine Lescourant (Parasite). Cintia Golitin fait également sa renommée dans le monde des battles et se forge un palmarès de victoires.

    Elle fonde en 2012 la Compagnie Bandidas avec quatre autres chorégraphes et danseuses de popping — Sacha Négrevergne, Rebecca Rheny, Farrah Elmaskini et Sonia Bel Hadj Brahim.

    Ses origines brésiliennes se retrouvent dans la vitalité de sa danse et dans sa personnalité souriante et se transforment en une énergie solaire vibrante.

    Guillaume Bariou

    © Ernest Sarino Mandap

    Tout juste licencié en Philosophie, option Musicologie, Guillaume Bariou commence par travailler dans le monde des radios associatives, au sein duquel se confirme sa passion pour la musique et se développe son amour pour la voix, pour les voix. Il mène en parallèle plusieurs projets musicaux qui le conduiront à réaliser une bande son pour la danse en 2003. Depuis lors, il officie comme musicien et créateur sonore pour de nombreuses compagnies de théâtre et de danse contemporaine ou hip hop.

    En 2004, il crée une association pour organiser des soirées dansantes : Biche Prod. Cette association va progressivement se transformer en une compagnie, au service de ses projets. Après un premier spectacle musical en 2007, Ecce Homo, il réalise sa première mise en scène théâtrale en 2015, Mundo Mantra, à partir du livre psychédélique Mantra de l’auteur argentin Rodrigo Fresan. En 2016, il écrit et crée Remplir la nuit, tragi-comédie apocalyptique.

    Depuis octobre 2016, il est artiste invité en recherche au Théâtre de L’L, Lieu de recherche et d’accompagnement pour la jeune création à Bruxelles. Sa première recherche s’intitule Who cares ? et tourne autour de la question de l’altruisme et de l’empathie.

    Côté bande son, il travaille et collabore étroitement avec les metteurs en scène Marylin Leray et Marc Tsypkine (Un bateau pour les poupées, Les névroses sexuelles de nos parents, St Sauveur du sang versé, Zone), Hervé Guilloteau (Le neveu de Rameau, La victoire, Le Monologue sans titre, My way, Kill the cow), Laurent Maindon (Asphalt Jungle, Au pays des…, Rhapsodies), Joel Jouanneau (Pink Punk Cirkus), ou encore François Chevallier (Nature morte dans un fossé, La ville) et François Parmentier (Bluff)…

    Il participe également aux créations de diverses compagnie de danse contemporaines et hip hop : Cie Yvan Alexandre (Fractions, Blanc-Sev., Les Solis noirs), KLP (E-Nondations, Sissa, Insolents solistes, Tour of duty), Cie Esther Aumatell (Flowers of romance, Murmures, Tragicos anheros), Group Berthe (Les pieds sur la nappe, Orties)…

    Aurélien Catin

    Aurélien Catin est auteur et militant pour les droits économiques.

    Membre de l’association d’éducation populaire Réseau Salariat, il étudie les possibilités d’instauration d’un droit politique au salaire, en particulier dans le champ des arts visuels. Il fait partie du collectif La Buse qui rassemble des plasticien·ne·s, des commissaires d’exposition et des chercheur·se·s en vue de conquérir un véritable statut pour les travailleur·se·s de l’art.

    En 2020, il a fait paraître un ouvrage intitulé Notre condition. Essai sur le salaire au travail artistique chez Riot Éditions, un petit éditeur associatif dont il dirige la collection « Travailler le travail ». Depuis la sortie de ce livre, il contribue à différentes publications (Le Monde diplomatique, Théâtre/Public, etc.) et continue d’explorer la thématique du travail à travers les enjeux du salaire et de la Sécurité sociale.

    Il étudie aussi l’économie de la culture, l’histoire du droit d’auteur et les mobilisations qui agitent les mondes de l’art en Europe.

    Avec le collectif FAIR-E / CCN de Rennes et de Bretagne

    FAIR-E Autrement
    Aurélien Catin participe à la mise en place d’un groupe de travail hybride autour de l’hypothèse d’une structure d’intérêt général dédiée à la production / diffusion des émergences pour penser collectivement une autre façon d’accompagner la jeune création. Les conclusions du travail mené seront présentées à l’occasion de la troisième édition de Radio Plouf ! en mars 2023.

    Ndoho Ange

    © Raphaël Stora

    Danseuse performeuse et artiste visuelle, Eliane Edou est née à Paris. Elle se forme aux techniques de danse hip hop en 2003 où elle se spécialise à la house dance et au hip hop freestyle. Soif de savoir elle étudie la technique Dunham au Centre Free Dance Song, elle se découvre alors un intérêt pour les danses dites de transe.

    En 2008, elle se forme à la photographie argentique au Centre Iris à Paris et entame un travail d’autoportrait qui questionne le corps et sa représentation qui continue jusqu’à ce jour. En 2010, dans une quête d’approfondir ses connaissances, elle part en Guadeloupe étudier la technique Ka de Léna Blou qui est la rencontre entre la danse traditionnelle « Gwoka » et la danse contemporaine.

    Artiste indépendante, Ndoho Ange se questionne sur la spiritualité de notre temps en se mettant en scène à travers ses autoportraits photo et vidéo dans lesquels le rêve et la transe sont les sujets centraux.

    Jennifer Aujame

    © Timothée Lejolivet

    Artiste-auteure, vidéaste, yogini, Jennifer Aujame, questionne nos manières d’habiter par la vidéo, l’enregistrement sonore, l’écriture ou la pratique du yoga. Avec elle, les images, les sons, les mots et le corps sont des outils pour déplacer et accompagner les mouvements de nos consciences et de nos corps.

    Journaliste dans sa première vie, Jennifer Aujame utilise aujourd’hui tous ces outils pour réaliser des vidéos et des documentaires d’autrice. Que ce soit par la vidéo, l’enregistrement sonore, l’écriture ou la pratique du yoga, elle vient questionner nos manières d’habiter. Les images, les sons, les mots et le corps sont dès lors autant d’outils pour déplacer et accompagner les mouvements de nos consciences et de nos corps.

    Avec le collectif FAIR-E / CCN de Rennes et de Bretagne

    FAIR-E Play
    En lien avec le projet FAIR-E Play, Jennifer Aujame a réalisé différents objets artistiques sonores qui seront diffusés à partir de 2023 : 

    Et si on abolissait la posture de l’artiste savant ?
    La chorégraphe Johanna Faye et la poétesse Marie De Quatrebarbe s’interrogent sur la posture de l’artiste et la relation artiste/intervenant·e dans la transmission au sein d’atelier.

    Tricher pour être juste, les enjeux de la fiction dans le documentaire
    Réalisateur et danseur, Raphaël Stora nous décrit ses enjeux de la fiction dans le documentaire. 

    Focus sur la série « Le Monde de demain » ou existe-t-il une mémoire collective du hip-hop ?
    Les réalisateur·ices Katell Quillévéré et Hélier Cisterne et le scénariste Vincent Poymiro reviennent sur la genèse de leur série Le monde de demain qui relate la naissance du mouvement hip hop en France.
    Écouter

    La danse hip-hop et l’institution : je t’aime moi non plus ?
    Un échange avec le chorégraphe Saïdo Lehlouh sur l’accompagnement du danseur Pac Pac, l’émergence, la culture underground et la contre-culture.

    Bruce Chiefare

    © Ray Flex

    Bruce Chiefare commence la danse par les battles, compétitions de breakdance en 1997, et remporte d’importantes compétitions comme les championnats de France en 2001, les championnats du monde à Londres en 2004, et d’autres titres internationaux. Il est amené à représenter la France dans des événements en Corée du sud, Los Angeles, Hollande, Japon, Espagne…

    Il évolue ensuite dans l’univers de la création, où sa gestuelle s’épanouit complètement. Il est interprète pour des compagnies comme Ethadam, Traffic de style, Régis Obadia, Käfig- CCN de Créteil (projet franco-taiwanais intitulé Yo gee ti). Aujourd’hui il est danseur pour la compagnie Accrorap-CCN de la Rochelle- Kader Attou, pour plusieurs de ses pièces (« The Roots », « Opus 14 », « Break à Mozart »), avec qui il se produit en Asie, Etats-Unis, Biélorussie, Allemagne, République Tchèque …. Il intègre des collectifs tel que Freemindz ou Wanted Posse. Il figure en tant que jury dans des « Battle » et c’est tout naturellement qu’il fonde la Cie Flowcus en 2017.

    Le parcours de Bruce Chiefare l’amène à penser plus profondément l’acte dansé. C’est au sein de sa compagnie, Flowcus, qu’il décide de prolonger ce questionnement, en apportant un regard différent sur le hip hop tout en préservant son essence et sa nécessité d’exister.

    Santiago Codon Gras

    © Timothée Lejolivet

    Santiago Codon Gras quitte l’Argentine et l’Espagne pour arriver en France en 2003 à l’âge de 15 ans. C’est à Marseille qu’il découvre la danse hip hop dans son ensemble et à 18 ans goûte à la danse contemporaine et au classique en tant qu’amateur au sein de l’association Ascendanse encadrée par les danseurs du Ballet des Jeunes d’Europe.

    Ces multiples rencontres vont très vite lui donner l’envie de se professionnaliser et c’est lors de son intégration au sein du collectif Treizième Cercle, dirigé par Brigitte Auligine qu’il fera la connaissance de David Colas. Une rencontre décisive pour son parcours qui lui permettra de se spécialiser dans le B-boying (Break Dance) et d’affirmer un style axé sur la musicalité, l’originalité et influencé par toutes ses rencontres précédentes.

    En parallèle, il s’associe à David Colas et avec qui il crée la compagnie Phorm en 2013. À la recherche de nouvelles inspirations, il assiste à la chorégraphie d’autres structures telles que les cies Mozaïk et Ecklectik et s’exercera comme formateur en danse hip hop avec le Centre des Arts du Cirque Balthazar.

    Actuellement à Paris depuis 2015, Santiago Codon Gras poursuit sa démarche en tant que danseur-interprète auprès de compagnies telles que la cie Par Terre (en collaboration actuelle) afin d’affiner son écriture chorégraphique et sa vision du spectacle vivant. 

    Il crée son premier solo Divin@media.com en 2018.

    Avec le collectif FAIR-E / CCN de Rennes et de Bretagne

    En établissement scolaire
    Semaine d’ateliers autour de la prochaine création de Santiago Codon Gras, Dinosaure, en novembre 2022 à l’école Villeneuve de Rennes.

    Marina De Remedios

    © Laurent Guizard
    © Timothée Lejolivet
    © Timothée Lejolivet

    © Timothée Lejolivet

    Andalousienne, Marina De Remedios pratique le flamenco et la danse espagnole depuis l’enfance. Des traditionnels “tablaos” jusqu’au travail chorégraphique avec Rubén Olmo, José Maldonado ou le Ballet Flamenco de Madrid, elle propose une danse en accord avec sa génération.

    Aujourd’hui, elle co-dirige artistiquement la compagnie Mucha Muchacha, enseigne dans les académies madrilènes et représente sa culture en tant qu’interprète, notamment au sein de la Cie Black Sheep, dans le spectacle Afastado Em de Johanna Faye, ou chez Ousmane Sy, dans One Shot présenté au festival Suresnes cité danse en janvier 2021.

    Collectif ÈS

    © Amélie Ferrand

    Le travail du Collectif ÈS, c’est de créer à 3, d’assembler les regards d’Émilie Szikora, Jérémy Martinez et Sidonie Duret pour donner corps à leurs idées. Pour eux, créer du spectacle vivant, c’est proposer des objets vivants, vus, vécus par des vivants : un lien entre plusieurs personnes, sinon rien. Ils cherchent alors ce partage à leur façon : par l’engagement du corps, l’action, le dévoilement de soi-même et même la dérision.

    Agir avec humour décale les points de vue et sait parfois mieux faire ressurgir les couches profondes de l’humain que ne le feraient les mots. Attention, on prend ça très au sérieux.

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      COLLECTIF FAIR-E
      Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne
      38 rue Saint-Melaine – CS 20831
      35108 Rennes Cedex 3
      tél : +33 (0)2 99 63 88 22
      (tous les jours de 14h à 17h et le mardi de 15h à 18h)
      mail : info@ccnrb.org

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