Ce trio écrit l’histoire d’une petite humanité qui se balbutie. Ici, tout est question de tentatives. La chute, motif récurrent de l’écriture, devient le moyen de se rencontrer, de créer la nécessité.
Trois danseurs-acrobates, trois figures identiques, amnésiques de leur condition, gesticulent avec une persévérance proche de l’absurde, pour redécouvrir les codes de la relation humaine. Parce que le trio danse visage caché, les conditions de l’empathie se déplacent et le chemin vers l’altérité est à reconstruire, inlassablement…
— Vendredi 4 février, à 21h
Au Triangle